Par pur soucis d'empirisme, j'ai voulu tester la nuit à l'université histoire de pouvoir dire 1) que je l'ai fait, 2) que j'ai utilisé pleinement toutes les capacités de la carte étudiante pourvue par les responsables de l'administration.
Il est 4h35 du matin heure locale, et je vous écris de la cafétéria de l'université. La température extérieure ainsi que le vent qui fait vaciller les lampadaires ne m'incitant pas à la percée, je pense finir la nuit ici.
Comme j'ai peur de me faire réveiller par le personnel de la cafet' demain matin (dans 4 heures), j'essaie de me tenir éveillé avec mon devoir de finance. Vous pensez que c'est con, je pense que vous avez raison.
J'ai les yeux tout rouge, et j'envisage sérieusement les amphétamines.
Dormez bien, je pense à vous, qui que vous soyez.
Chéri y faut que tu dormes. N'oublie pas non plus de manger. Mais surtout pas d'amphét, malheureux !
RépondreSupprimerTa maman qui t'aime et qui sait plus comment faire pour te joindre.
PS. Les grands parents ont demandé un n° de tél où te joindre
Je l'ai fait... moi aussi de feuilleter ton blog en pleine nuit (3h30 heure française), sans aucune neige à l'extérieur, seulement des résidus de bruine automnale, ni aucun devoir de finance, plutôt un business plan qui me prend la tronche et les conséquences d'avoir voulu revivre There will be blood qui passe bien la barre de la revoyure malgré rétrécissement de l'image en format télé.
RépondreSupprimerFatigué donc maintenant dodo.
Et surtout pas d'amphét, malheureux !
Bises
Fredo